L’événement, parrainé par Pascal Neveux, rassemble plus d’une centaine d’artistes.
Il propose pendant 6 jours de partir à la découverte de vidéos d’art : à travers une déambulation inédite entre les chambres de l’hôtel Windsor, du Grand Hôtel Le Florence et dans une trentaine de lieux d’art publics, privés et d’espaces atypiques de la ville. En preview, la biennale MOVIMENTA 2017 propose les 1er et 2 décembre en ville, un forum d’experts en synergie avec OVNi et plusieurs installations des plus grands noms de l’Art Vidéo.
L’Hôtel Windsor repense l’hospitalité artistique, pour accueillir des musées prestigieux de Séoul à Hobart, en mettant l’Argentine à l’honneur, sans oublier de belles institutions régionales et nationales. Marseille est hébergée à Nice par le Grand hôtel Le Florence et propose une dizaine de programmations
OVNi offre la possibilité de découvrir un medium encore méconnu dans l’intimité d’une chambre d’hôtel. Il permet aussi de poursuivre cette expérience dans la ville, à travers deux parcours pour redécouvrir les œuvres vidéo d’artistes contemporains confirmés de la scène internationale, au côté d’une génération d’artistes plus jeunes, qui assure d’ores et déjà la relève. Avec « Chambre en ville » certains lieux joueront avec le concept de la chambre comme espace de diffusion ou de production, d’autres encore opteront pour la carte blanche du parcours « Satellites ».
OVNi est un projet collaboratif, où chaque invité apporte sa pierre à l’édifice. Son format ludique incite les festivaliers à visiter les musées de la ville pour l’occasion, à découvrir des lieux d’art ou des espaces insolites, s’adressant aussi bien au grand public qu’aux initiés.
Le film de Pelassy est constitué de copies sauvages à partir de cassettes vhs multi-standard. Le film est toujours montré en vhs, la même cassette étant maintes fois visionnée, les images vacillent et disparaissent petit à petit ; les lecteurs vhs patinent, cherchent l’image, des instants de noir, la retrouvent, passent en permanence du noir et blanc à la couleur, les couleurs changent …
Bruno Pelassy est né en 1966 à Vientiane, Laos et décédé en 2002 à Nice.
Après une formation en textile et joaillerie, Bruno Pélassy initie une pratique artistique au début des années 1990, époque marquée par le traumatisme du virus du Sida.
Très tôt touché par ce fléau, il a exploré et déployé une poétique ambivalente de la vie et de la mort par l’usage de métaphores et de figures mises en scène, un jeu de techniques multiples laissant transparaître de façon sensible et formelle, une expérience personnelle. L’esquisse côtoie le travail minutieux du verre et du cristal, la création de bijoux et de reliquaires à l’esthétique baroque bricolée. Si l’œuvre est sombre à bien des égards, elle est aussi sensible et clairvoyante, romantique et lumineuse.
Le film de Pelassy est constitué de copies sauvages à partir de cassettes vhs multi-standard. Le film est toujours montré en vhs, la même cassette étant maintes fois visionnée, les images vacillent et disparaissent petit à petit ; les lecteurs vhs patinent, cherchent l’image, des instants de noir, la retrouvent, passent en permanence du noir et blanc à la couleur, les couleurs changent …
Bruno Pelassy est né en 1966 à Vientiane, Laos et décédé en 2002 à Nice.
Après une formation en textile et joaillerie, Bruno Pélassy initie une pratique artistique au début des années 1990, époque marquée par le traumatisme du virus du Sida.
Très tôt touché par ce fléau, il a exploré et déployé une poétique ambivalente de la vie et de la mort par l’usage de métaphores et de figures mises en scène, un jeu de techniques multiples laissant transparaître de façon sensible et formelle, une expérience personnelle. L’esquisse côtoie le travail minutieux du verre et du cristal, la création de bijoux et de reliquaires à l’esthétique baroque bricolée. Si l’œuvre est sombre à bien des égards, elle est aussi sensible et clairvoyante, romantique et lumineuse.